La Fondation de l’Université Laval remercie chaleureusement la Fondation Famille Choquette pour son inestimable générosité et son soutien envers notre communauté étudiante. Depuis 2004, l’engagement de la famille Choquette va bien au-delà d’une aide financière. Il constitue un gage de reconnaissance envers l’excellence de nos étudiantes et étudiants et un bel encouragement qui leur permet de croire en leurs capacités et leurs rêves.
En plus de soutenir 4 fonds de bourses, soit le programme Managers sans frontières, le Club de golf Rouge et Or, les Bourses citoyennes et citoyens du monde – volet mobilité et les Bourses Fondation Famille Choquette pour un séjour d’études ou de stage de recherche hors Amérique du Nord, Paul Choquette, directeur général de la Fondation, prend le temps d’aller à leur rencontre pour leur parler du parcours inspirant de son frère Pierre Choquette, fondateur de cet organisme de bienfaisance. Son discours rappelle l’importance de nous ouvrir, comme citoyenne et citoyen, au monde qui nous entoure, d’aller à la rencontre des autres et de toujours repousser nos limites. Par l’engagement si humain de la famille Choquette, elle propulse de nombreuses étudiantes et étudiants vers le chemin de la réussite.
Leur fidèle engagement en un coup d’œil – depuis 2004
Témoignages de la communauté étudiante
« C’est en 2015 que j’ai entamé mon parcours à l’Université Laval. Dès le début, vous m’avez aidé ainsi que tous les membres de l’équipe de golf. J’ai ensuite fièrement reçu deux bourses de votre part qui m’ont apporté une sérénité financière me permettant de me consacrer encore plus au golf durant mes études. Grâce aux entraînements, aux stages hivernaux et à la salle de golf performante que vous avez aidé à financer, mon golf s’est amélioré d’année en année, me permettant d’espérer vivre de ma passion! Maintenant que je suis passé pro, votre soutien continue pour m’aider à lancer ma carrière. Ça fait 7 ans que vous êtes là avec moi et je vous en serai éternellement reconnaissant ! »
– Baptise Mory, diplômé de la Faculté des sciences de l’administration
« Grâce à votre générosité, j’ai pu m’installer à Paris non pas comme un simple visiteur, mais comme un résident. J’ai ainsi pris le temps de découvrir les nombreuses particularités de la France, au fil d’échanges avec mes pairs, mais aussi en faisant l’effort de rester informé quotidiennement et de participer aux innombrables manifestations culturelles que Paris a à offrir. En tant que grand centre mondial et européen, la ville constitue un tremplin pour entrer en contact avec de nombreux citoyens d’ailleurs. Les rencontres avec des gens d’horizons aussi divers sont de remarquables occasions de réfléchir sur les différentes façons dont les humains construisent leur rapport au monde. Cela nous force à nous poser des questions que l’on n’aurait pas envisagé de se poser auparavant. »
– Alexandre Leduc Berryman, doctorant en philosophie
« J’ai beaucoup grandi durant mon stage, tant sur le plan personnel, en étant plus humble et ouverte sur les autres, qu’en développant ma confiance en mes capacités. Je suis fière d’avoir réorienté ma carrière dans le secteur de l’aide internationale. Je vise à continuer à me former et à diversifier mes expériences sur le terrain afin, qu’un jour, je puisse diriger une organisation non gouvernementale ou un département d’une organisation internationale et influencer les orientations stratégiques d’un gouvernement. »
– Sindatry M’bodj, diplômée de la maîtrise en développement international et action humanitaire
« J’ai eu la chance d’accompagner mon laboratoire de recherche d’accueil lors d’une conférence internationale, la Nordic Oikos Conference, qui s’est déroulée à Reykjavik, en Islande, du 2 au 5 mars 2020. J’y ai présenté mes résultats préliminaires par affiche ainsi qu’un discours express pour lequel j’ai obtenu le 1er prix. J’y ai également rencontré de nombreux chercheurs d’autres pays nordiques travaillant sur des problématiques similaires à la mienne. Cela m’a permis d’échanger avec eux et de tisser des liens avec une communauté de chercheurs très actifs dans ce domaine à l’international. »
– Rachel Guindon, étudiante au baccalauréat en biologie
« L’expérience à l’international brise des murs de silence et d’incompréhension; favorise l’édification de ponts d’échanges et de dialogue. Je pense aussi que l’on finit par se trouver soi-même, si ce n’est même se retrouver. Être ouvert sur le monde, c’est une chance de se situer soi-même, de rencontrer des espaces qui peuvent devenir chez soi… ailleurs. »
– Frédérick Bertrand, doctorant en histoire